La comparaison anthropologique ne se fonde pas sur des généralisations inductives à partir de matériaux empiriques ; elle est ancrée dans la généralisation déductive, c'est-à-dire dans la détection, à l'intérieur d'un certain nombre de cas ethnographiques, de caractéristiques qui peuvent être organisées selon des schèmes significatifs. La comparaison ainsi entendue n’acquiert une légitimité que si elle vise la symétrie, si elle s'efforce de rendre comparables, sur un pied d'égalité, les caractéristiques culturelles de l'observateur et celles de l'observé. Il existe différentes manières d'y parvenir, chacune ayant de profondes implications philosophiques.
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